"Et gouttes apres gouttes, j'instilerai mon dégout, jusqu'a ce que finalement tu perisses."
C'est ce déchaînement de sentiments humain qui baigne ses quelques lignes.

We speak Art

ALL CONTENT ARE THE PROPRIETY OF THE AUTHOR ©

15.4.12

J'empoisonne, 
Tour a tour; elle me nuit;
Les portes s'engourdissent. 
O l'impétueux
Cavalier de l'Oubli.
Cet instant, 
Grand Chagrin! 
N'est que le fruit
D'une plaie. 
J'admet m'emporter
Lorsque sonne Midi
La crainte de Minuit
Grandit derrière les portes;
Oui celles qui, engourdis
Ne t'ouvrent plus alors. 
On boit a mon honneur
Sur les rives du Tartare, 
Jamais autant de corps
Ne furent envoyés danser, 
Par les sombres actions
De mon esprit damné. 


"Oh mais que voyez?
La Rose pourprée
Qui attendait la pique,
S'est finalement vouée 
A un destin tragique."


Dans ce corps débile
Mon esprit vagabonde
A de lointaine idées
Qui, lointaine si ce n'est, 
N'importune que la logique
D’être née si brisée, si hantée,
Si pathétique. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire